L’immobilier fait partie de ces secteurs les plus prisés par les investisseurs tant particuliers que professionnels. S’il est clair qu’avant de vous y lancer vous devez vous rassurer qu’il y ait une rentabilité au bout, voici les coûts que vous devez supporter.
Les coûts à supporter avant ou lors de l’acquisition du bien immobilier
L’acquisition d’un bien immobilier est soumis à de nombreux coûts qu’ils soient cachés ou révélés. Que l’immobilier soit réservé pour une résidence principale, secondaire ou pour la location, il vous faut prévoir un budget adapté. Ce dernier doit inclure votre apport personnel ainsi que le montant de l’emprunt à effectuer avant d’entamer les recherches ou les visites des terrains ou de constructions.
Un don conséquent ou une épargne personnelle, quel que soit son origine est toujours utilisée pour ce genre d’opération. Constituée depuis de nombreuses années, cette épargne ne doit pas être prélevée à plus de 15 % du montant du bien immobilier à acquérir. Le reste (85 %) du montant doit être d’origine d’un emprunt bancaire. Notez que votre capacité de remboursement mensuel détermine aussi le montant de l’emprunt à solliciter auprès de votre banque.
Les différents frais à tenir en compte après l’achat de votre immobilier
Evitez de trop mettre en péril votre vie future en empruntant à la banque un montant qui nécessitera de gros remboursements mensuels. S’il le faut faites en sorte de rembourser l’emprunt sur une longue période ; ce qui signifie évidemment un allègement des mensualités mais des intérêts beaucoup plus conséquents à payer.
Plusieurs personnes oublient que dans le cadre de l’achat d’un bien immobilier, il faut ajouter les frais d’entretien ou de maintenance, les frais de copropriété, les frais liés à la gestion locative, les impôts à payer, …